Une belle longère début XIX° à rénover, mise en vente par suite de la division d’une grande propriété immobilière. Un lot - le nôtre - autour du bâtiment principal, un second constitué d’une grange, et le troisième sous forme d’un terrain à bâtir.
Ce rendez-vous d'un samedi matin d'avril nous a épargné une grosse déception, car nous y avons découvert la demande de permis de construire déposée par notre futur voisin, en vue d'ériger un garage sous nos ouvrants principaux !
Heureusement, nous avons pu nous dégager, non sans mal, en mettant en jeu la responsabilité du vendeur, qui nous avait caché l'information. Et nous nous sommes remis en quête...
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